Tout commence par une histoire banale… Miyata s’est récemment (enfin, il y a six mois…) fait plaquer par sa copine. Un soir, alors qu’il s’apprête à enlever sa deuxième chaussette, la gauche, et à se glisser dans ses draps après une journée au bureau, le téléphone sonne. Un coup de fil qui a l’effet d’un coup de fouet, il saute sur son vélo, et trois coups de pédale plus tard, tout s’enchaîne.
Cinq visions valsent mêlant trois intrigues ayant en leur centre de l’argent et une mallette de sous-vêtements.
Ce film est une rosace géniale, où chaque tracé est une vision, où chaque personnage est lié aux autres comme les arômes d’un cocktail savoureux : un zeste de comédie romantique, une larme de drame, un soupçon de film noir, dont le résultat est d’une ivresse folle.